Le nommé Brandon, 25 ans,célibataire, ouvrier verrier à Folembray, étant « en bombe » avec « les camarades, était allé le soir se coucher dans une grange abandonnée, quand un coup de leu retentit vers 11 heures du soir, fracassant la jambe de Brandon, qui eut encore le courage de faire 50 mètres pour aller demander asile à un de ses frères. Malgré les soins empressés du docteur Lassance, de Folembray, le blessé expira dans le
pansement. On présume qu’ayant voulu cacher un fusil pour braconner, le coup partit à son insu. La gendarmerie fait une enquête.

Le Journal de Saint-Quentin, le 25 décembre 1908